De nos jours, il n’est pas facile choisir l’ampoule idéale pour son intérieur, notamment celles qui sont économiques en termes d’électricité. Parmi les tops des ampoules économiques, il y a le néon, l’halogène, et le LED. Vers laquelle d’entre elles se tourner ? Pour éviter la hausse de facture d’électricité, il vaut mieux faire un focus sur chaque type de lampe.
Rénovation des ampoules
Bien qu’elle ait été un grand classique durant tant d’années, l’ampoule à incandescence n’est, à présent, plus au sommet de la liste. En effet, bon nombre de pays ont abandonné la conception et la commercialisation de ce type de lampe. Les facteurs de cette éjection sont le mauvais rendement et sa durabilité désolante (environ 42 jours maximum). Il y a également les ampoules fluo compactes. Bien qu’elles soient aussi économiques en consommation d’énergie, la performance n’est pas leur point fort. C’est pourquoi, il est désormais nécessaire de faire place aux ampoules halogène à efficacité élevée ou LED. Certains appellent aussi ce type de lampe « éco ». Elle peut réaliser jusqu’à 30 % d’économie électrique. Pourtant, elle est assez, voire plus, fiable. Par ailleurs, il y a les lampes fluorescentes ou néon, pouvant procurer un rendement 5 fois supérieur aux ampoules initiales. Son défaut se place sur la durée lente d’atteinte de sa luminosité maximale.
L’ampoule LED, une garantie
Il est clair que la LED est la lampe parfaite, que ce soit pour empêcher la facture de faire un flambeau ou d'assurer une performance. De plus, cette ampoule à éclairage par diodes électroluminescentes est largement moins chère. Vous pouvez vous en procurer à 5 euros, contre une dizaine d’euros, ou plus, avec une lampe halogène simple. Même résultat sur la consommation d’électricité. L’halogène dépense deux fois plus d’énergie que la LED, pourtant, ce dernier à une longévité cinq fois supérieure.
Comment bien choisir son ampoule LED ?
C’est une bonne question ! Pour être sûr d’avoir opté pour la bonne lampe LED, il y a plusieurs critères à vérifier :
- Les lumens : plus une lampe en crée, plus elle brille.
- L’angle d’ouverture du faisceau lumineux : inférieur à 50° pour une salle de bain, par exemple, et 100° à 250° pour une chambre.
- Le nombre de Kelvins. S’il doit être placé dans une chambre, la valeur de Kelvins produite doit être peu. En revanche, si vous cherchez une lumière dynamique (pour les cuisines), il en faut davantage.
- Le délai de garantie : tâchez d’éviter les pertes lamentables et consultez toujours le ticket de la lampe.